Pourquoi l’outil rêver d’Hitler veut la guerre…avec la Russie en 2015

nato-hiIl était une fois un dictateur rêvant d’un outil militaire absolu, qui règnerait sur le monde pour l’assouvir.

Aujourd’hui cet outil est devenu réalité, et se fait appelé OTAN/NATO. Cette organisation assiège la Fédération de Russie, tout en essayant de faire croire que l’agresseur est ce même Pays, encerclés, de toute part (satelliser), par cette instance militaire fasciste, se croyant toute puissante.

La population de cette organisation est matraqué médiatiquement, chaque jour pour justifier cette action, qui ressemble de plus en plus à une tentative d’asservissement de la Russie par les occidentaux.

L’OTAN, Hitler en rêvait, les Américains l’ont fait, et nous Français et Européens abandonnons un peu plus chaque jour notre souveraineté ainsi que notre liberté de conscience aux mains des Etats-Unis. Affranchissons nous de cette dépendance diplomatique pour mener une politique plus équilibré envers la Russie, aujourd’hui dirigé par Poutine mais Demain?

Pour finir, une citation repris par le site les-crises.fr qui avait publié un article au mois de novembre 2014 déjà très réaliste sur la situation en Ukraine.

Prenez le temps de le lire, c’est très instructif.

http://www.les-crises.fr/u4-3-le-role-des-americains-et-des-europeens/

Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots.” [Martin Luther-King]

otan

Il faut sauver le soldat Snowden

Avant de publier la mise à jour sur les éruptions solaires en fin de mois, je souhaite attirer l’attention sur Edward Snowden et sur le lancement de la pétition par l’express, afin d’accueillir ce symbole de la liberté dans notre Pays, qui a bien besoin de redorer son blason sur cette question.; évidement le fasciste/Sataniste Valls est contre.  N’oublions pas également Julian Assange…portrait-of-the-leaker-as-a-young-man-edward-snowden-has-always-been-a-privacy-fanatic…même si les agissements de l’un ou l’autre ne sont pas tout à fait comparable.

http://www.lexpress.fr/actualite/monde/manifeste-pour-edward-snowden_1547528.html

https://www.change.org/fr/p%C3%A9titions/fran%C3%A7ois-hollande-accordez-l-asile-politique-%C3%A0-edward-snowden

 

La vérité sur l’Ukraine

L'OTAN organisation fasciste
L’OTAN organisation fasciste et liberticide

Une vidéo et un extrait d’un échange entre deux diplomates pour comprendre rapidement que la vérité encore une fois est absente des grands médias. Heureusement il y a internet mais même là, les menaces sur la liberté du réseau se fait de plus en plus  pressant. Cela méritera un article de fond que je n’ai pas le temps d’écrire en ce moment. A video and an excerpt of an exchange between two diplomats to quickly understand that the truth again is absent in the major media. Fortunately there is internet but even there, the threats to the freedom of the network has become ever more pressing. This will deserve a substantive article that I do not have the time to write at this time.

Source:  http://lesbrindherbes.org/

http://rutube.ru/video/93802748ac84d98b69294da71162d03f/

Ukraine: policiers et manifestants abattus par des snipers inconnus

« L’entretien entre M. Paet et Mme Ashton a eu lieu le 26 février, après une visite du ministre estonien dans la capitale ukrainienne. Selon un communiqué de la diplomatie estonienne, M. Paet a fait part de ce qu’il avait appris lors de ses rencontres à Kiev et a exprimé sa préoccupation au sujet de la situation en Ukraine.

On retient particulièrement un fragment de la conversation dans lequel M. Paet a fait état de snipers embusqués qui avaient tiré sur des gens à Kiev. Le ministre a déclaré tenir cette information du docteur Olga Bogomolets, médecin qui avait soigné les manifestants et les policiers blessés sur la place de l’Indépendance.

« Olga m’a dit qu’à en juger d’après les preuves dont elle disposait, les mêmes tireurs avaient abattu des policiers et des personnes rassemblées sur la place », a affirmé M. Paet lors de son entretien avec Mme Ashton. »

abattage massif de loups

LoupCe mois-ci je relaie une information très importante sur une pétition en cours qui demande l’arrêt d’une décision stupide, égoiste, et lâche de la part encore une fois de nos politiques. Je pense qu’un moment donné c’est eux qu’il faudra abattre, à gros coup de guillotine, comme pendant la révolution. Dernières infos le 23/08: Six « tirs de prélèvements » (euphémisme de l’administration pour tuer l’animal protégé) sont actuellement autorisés dans ces trois départements les plus attaqués. S’y ajoutent des dizaines d’autorisations de « tirs de défense » accordés aux éleveurs ou « des tirs de défense renforcés » avec dix fusils maximum (une nouveauté). Un record de 24 loups, sur une population de 250, peuvent être « prélevés » en France. Et le tout nouveau « plan d’action national loup » permet le tir de plusieurs loups lors d’une opération.  Certains souhaiteraient abattre le Loup directement d’un hélicoptère. C’est devenu n’importe quoi ce pays, qui n’arrive même pas à vivre avec 250 Loups, alors que l’on est plus de 60 millions d’humains en Métropole et qu’il y a plus d’un milliard d’animaux d’élevage, et on veux exterminer une espèce en voie de disparition pour sauver une centaine de bovins/ovins… par an, sur un milliard, c’est effroyable comme système de penser.

http://www.change.org/petitions/annulation-de-la-nouvelle-mesure-d-abattage-massif-de-loups?utm_source=supporter_message&utm_medium=email&utm_campaign=petition_message_notice

Cette pétition a été signée 5500 fois en une semaine seulement !

N’y a t il pas meilleure preuve que le sort du loup résonne comme un intérêt général pour tous?

Or, notre voix n’est à ce jour, pas assez entendue.

Afin de vous tenir au courant au plus près de l’avancée de notre action, je me dois de vous apporter plusieurs précisions :

En plus des 380 chasseurs, c ‘est un réel débauchage de chasseurs d’Amérique du Nord, qui va être mis en place afin de mieux abattre le loup.

Comme le mentionne l’article de journal du Nice Matin paru le 16 juillet, une préconisation du retour de la capsule de cyanure, « poison propre qui ne tuera que la bestiole qui veux manger le mouton ».
Cette déclaration fut prononcée par Bernard Bruno, président du syndicat des éleveurs, appuyant la demande « de tuer du loup », afin de faire accélérer les choses.
Aussi, cette pensée peut être résumée par une déclaration de Mr Michel Dessus, président de la Chambre d’agriculture des Alpes Maritimes :  » C’ est le loup qui doit partir, pas le berger ».

Or, il n’est pas question ici de chasser l’un ou l’autre mais bien de trouver un système pertinent ouvrant la porte à une cohabitation paisible entre le loup et l’homme.
Impossible?

Si l’on ne devait prendre qu’un seul exemple :
L’ Espagne, qui compte entre 1500 a 2000 loups sur ses terres, et qui arrive à vivre paisiblement en compagnie du loup.
Comment expliquer qu’en France, avec seulement 240 loups, nous n’y arrivons pas?

Le problème ne vient donc pas du loup, mais de la gestion du pastoralisme en France.
Nous sommes tous d’accord sur un point :

OUI IL FAUT AIDER LES ÉLEVEURS.

En leur apportant des solutions concrètes .
Il devient urgent d’aider les éleveurs à mieux protéger leurs troupeaux, de façon raisonnée.
Encore une fois, il existe bien des solutions à ce problème.
La France reste un des seuls pays où la cohabitation avec le loup semble être difficilement acceptable.
A quand une solution responsable?

En réponse à ces événements, voici l’action que je mène en collaboration avec des personnes faisant partie d’une grande association qui agit pour la biodiversité :

– Continuer à donner de la voix à tous ceux qui refusent ces mesures barbares et immorales, en donnant du poids à cette pétition

– Des demandes de RDV sont en cours avec certains élus du département, sensibles à l’écologie, ainsi qu’avec la préfecture.

– Une lettre a été adressée le 22 juillet 2013 à tous les maires des communes en ZPP (zone de présence permanente du loup) pour leur rappeler les droits internationaux de protection dont fait office le loup en France

– Une copie de cette lettre a été adressée à plusieurs députés, sénateurs et au Président du Conseil Général des Alpes-Maritimes

L’effet Streisand

Après avoir menacé d’attaquer en justice la fondation Wikimedia, les efforts de la DCRI n’aura eu que l’effet inverse souhaité concernant le retrait d’un article de l’encyclopédie en ligne. Je publie cette fameuse page finalement très banale, ou l’on n’apprend rien de bien problématique et surtout rien de nouveau sur notre dissuasion nucléaire.

Finalement jamais la page Wikipédia concernant la station de Pierre-sur-Haute n’aura été aussi visitée,depuis, et ce grâce à la direction centrale du Renseignement intérieur qui a tout simplement voulu la faire disparaître.

Un grand bravo au service secret Français…

Station hertzienne militaire de Pierre-sur-Haute

Station hertzienne de Pierre-sur-Haute
Image illustrative de l'article Station hertzienne militaire de Pierre-sur-Haute
La station hertzienne de Pierre-sur-Haute. On distingue les deux tours militaires, la tour relais de TDF au centre, les bâtiments de vie, ainsi qu’une hélistation.

Construction 1961
Rénovation De 1981 à 1987
Utilisation
Contrôlé par Drapeau de France France
Effectifs ± 20
Coordonnées 45° 39′ 11″ Nord
3° 48′ 30″ Est 

Géolocalisation sur la carte : France

(Voir situation sur carte : France)Station hertzienne de Pierre-sur-Haute

La station hertzienne de Pierre-sur-Haute est un site de trente hectares voué aux communications interarméesfrançaises, situé sur les communes de Sauvain et de Job, la limite entre les régions RhôneAlpes et Auvergne traversant la base. En périphérie de sa vocation militaire, le site comporte une tour hébergeant un relais hertzien civil appartenant à TDF1surmontée d’un radar de la Direction générale de l’Aviation civile (DGAC).

La Croix de Pierre-sur-Haute est située dans la partie de la station relevant de la commune de Job (Puy-de-Dôme) et elle indique le point culminant du département de la Loire, à 1 634 m2.

Sommaire

  • 1 Histoire
  • 2 Rôle
  • 3 Infrastructures
    • 3.1 Implantation et accès
    • 3.2 Installations de surface
    • 3.3 Installations en sous-sol
  • 4 Protection
  • 5 Notes et références
  • 6 Voir aussi
    • 6.1 Articles connexes

Histoire

En 1913, l’armée française construit sur le site un télégraphe Chappe consistant en un modeste bâtiment en pierre surmonté du dispositif de communication optique1.

En 1961, lors de la guerre froide, l’OTAN donne à l’armée française pour mission de construire l’une des 82 stations de son réseau de transmission, le réseau ACE High (Allied Command Europe). Son nom de code est FLYZ3. À partir de 1974, la responsabilité du site passe de l’armée de terre à l’armée de l’air. Dès 1988, l’OTAN envisage le démantèlement du réseau ACE HIGH avec comme conséquence la création de nouveaux plans de fréquences nationaux.

La station hertzienne de l’OTAN utilisait des liaisons radio troposphériques et du matériel américain : soient des bonds radios de l’ordre de 300 km, les plus longs atteignant plus de 450 km (entre Mossy Hill – UMSH4 – et Lysenuten – NLYZ4).La puissance nominale d’émission qu’assurait un klystron était 10 kW.[réf. souhaitée] En raison de la particularité des transmissions troposphériques, ces liaisons fonctionnaient en diversité d’espace et de fréquence[pas clair]. La station de Pierre-sur-Haute qui servait de relais entre, au sud, celle du Lachens (FNIZ4), qui domine le camp militaire de Canjuers aux confins des Alpes-Maritimes, du Var et des Alpes-de-Haute-Provence, et, au nord, celle du Mont Août (FAOZ4), à Broussy-le-Grand dans la Marne, reposait sur quatre émetteurs de 10 kW chacun (deux par sens de liaison) et sur seize récepteurs (huit par sens de liaison).

Le site dispose de groupes électrogènes qui rendent le site autonome si nécessaire1. Dans les années 1970, une ligne moyenne tension (15 kV) fut créée et l’OTAN remplaça ce matériel par une centrale électrique comportant deux groupes à temps zéro5 de 450 kVA.[réf. souhaitée]

De 1981 à 1987, la station ACE HIGH6 est entièrement rénovée afin d’accueillir la station actuelle de l’Armée de l’air française.

Pour assurer le contrôle du trafic aérien, un radar secondaire avec interrogation sélective, dit « mode S », est opérationnel depuis le 18 août 20097,8. Ce radar a rencontré des dysfonctionnements en raison des fortes chutes de neige9.

Rôle

La station de Pierre-sur-Haute appartient à l’armée de l’air française et dépend de la Base aérienne 942 de Lyon-Mont Verdun, à 80 km du site. C’est l’une des quatre stations hertziennes de l’axe Nord-Sud, communiquant en permanence avec les trois autres : Lacaune, La Borne à Henrichemont et la base aérienne de Brétigny10. Elle relaie donc les communications interarmées, portant principalement sur le commandement des unités opérationnelles. Ainsi, si la force de dissuasion nucléaire française était utilisée, il est possible que l’ordre de mise à feu transite par ce relais1.

Elle dépendait du Commandement air des systèmes de surveillance d’information et de communications (CASSIC) depuis sa création le 1er juin 1994, puis, à compter du 1er janvier 2006, de la Direction interarmées des réseaux d’infrastructure et des systèmes d’information (DIRISI) et de sa direction centrale au Kremlin-Bicêtre10,11.

Dirigées par un major, une vingtaine de personnes se relaient sur le site pour son fonctionnement ainsi que pour sa défense : électromécaniciens, cuisiniers, mécaniciens1.

Infrastructures

Antennes militaires de Pierre-sur-Haute.

Implantation et accès

Snowkite au sommet de Pierre-sur-Haute. En arrière-plan au centre, la tour de télécommunications (non militaire) de TDF, surmontée du radar-dôme de la DGAC.

La station est implantée sur un terrain de trente hectares partagé entre les communes de Sauvain et de Job, la limite entre leurs départements respectifs, la Loire (région Rhône-Alpes) et le Puy-de-Dôme (région Auvergne), traversant le site. Son périmètre est parcouru par une haute enceinte en bois et en métal, les militaires et employés accédant à la station par l’héliport et par une route de quatre kilomètres interdite à la circulation civile, depuis le col du Béal à 1 390 m d’altitude. Cette route est inutilisable lors d’un enneigement de plus de deux mètres : la variante pour parvenir à la base est alors le chemin des crêtes praticable avec des engins à chenilles1, celui-ci étant doté de poteaux guidant les usagers même en cas d’épaisse couche de neige. Le site est également accessible depuis la station de sports d’hiver de Chalmazel par le téléski de Pierre-sur-Haute, qui monte à proximité immédiate du sommet où est situé l’installation militaire, alors même que la route qui y mène pourrait être fermée.

Installations de surface

Les infrastructures les plus visibles sont deux tours en béton d’une trentaine de mètres de hauteur qui assurent l’émission et la réception hertzienne depuis 1991. Chaque tour a la même fonction. La deuxième tour sert en cas de défaillance de la première12. Cet équipement est prévu pour résister au souffle d’une explosion nucléaire1.

Quelques bâtiments servent de garages et de lieux de vie, avec cuisine et salle de restauration et chambres. Ils sont reliés par environ400 mètres de tunnels qui évitent en hiver, surtout les plus froids, des déplacements à travers plusieurs mètres de neige1.

Installations en sous-sol

Le cœur du site est la partie enterrée, vouée aux traitements des messages : à raison de 2 Mb/s, les communications provenant des tours sont analysées, puis y sont redirigées pour être transmises où il convient1.

Protection

Les installations en sous-sol sont classées comme « infrastructure de haute sécurité », sous protection nucléaire, bactériologique et chimique. Dans le jargon militaire, le site est dit « durci » : par exemple, il dispose d’une enceinte de béton armé avec protection vis-à-vis des impulsions électromagnétiques par une cage de Faraday, les locaux sont en surpression, certaines salles sont « propres »1.

Le sous-sol est pourvu d’une autonomie en eau et en électricité ainsi que d’une climatisation autonome1.

La sensibilité du lieu amène en mars et avril 2013 la Direction centrale du Renseignement intérieur (DCRI), service de renseignement de la police française, à demander la suppression du présent article de l’encyclopédie Wikipédia en français, d’abord auprès de la Fondation Wikimedia, qui refuse, puis en convoquant Rémi Mathis, le président de l’association Wikimédia France, qui a accès aux outils d’administrateur, et en le mettant « en garde contre le risque d’engagement de poursuites judiciaires »13. L’association Wikimédia France proteste publiquement par un communiqué de presse en français14 et en anglais15. L’action de la DCRI et ses suites suscitent une attention médiatique nationale et internationale, entraînant un effet Streisand sur l’article, qui est recréé, complété, traduit en plusieurs langues et largement visité16,17,18,19,20.

Bilan lectures Automne Hiver 2012-2013

Quelques_minutes_apres_minuit-2Bilan lectures Automne Hiver 2012-2013:

Kwest d’Andréas Eschbach****, Elliot du Néant de David Calvo***(*), Les gouttes de Dieu de Tadashi Agi et Shu Okimoto tome 9***, Terrorisme nucléaire de Georges Le Guelte²**(*), L’année stratégique 2013 de Pascal Boniface**, Le séminaire livre X l’angoisse de Jaques Lacan***(*), Quelques minutes après minuit de Patrick Ness *****, Et dormir dans l’oubli comme un requin dans l’onde de Steven Hall***, Histoires extraordinaires d’Edgar Allan Poe ² ****, Le lasso spéculaire:une étude traversière de l’unité imaginaire de Guy Le Gaufey**(*), Jean Cavailles : Un philosophe dans la guerre 1903-1944 de Gabrielle Ferrières****.

(²) relecture

Autocensure

Article 19

Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit.

C’est la deuxième fois que je laisserais le theme de l’environnement pour parler de l’autocensure qui progresse dans nos sociétés dites modernes. En effet il ne s’agit plus seulement d’un phénomène qui touche pour l’éssentiel les média, mais de plus en plus la culture dans sa grande diversité que se soit des expositions (our body), la chanson (Orelsan interdit par royal de francofolies), internet (hadopi2,logiciel chinois…), jeux vidéo(hier manhunt2, aujourd’hui 6 days in Falloudja), livres(Elena Tchoudinova). Le lien ci-dessous concerne l’article de Chronicart.com sur la propre censure d’un éditeur,développeur japonais pourtant très puissant, auteur des séries PES, Metal gear, Castlevania etc…

Nouvelle preuve d’un courage éditorial décidemment en berne après l’affaire "Manhunt 2", "6 Days in Fallujah", plongée dans l’horreur du conflit Irakien, est finalement annulé par Konami. Chronique d’une discrimination culturelle.

http://www.chronicart.com/webmag/article.php?id=1564