Activité solaire 2018.1

sans-titre-61

Le point annuel sur les éruptions de classe X,  il n’y a pas eu d’autres éruptions depuis septembre 2017 (en rouge, en bas à droite du graph). Pour ceux qui ne connaissent pas le site, je suis les éruptions de classe X et classe M, ainsi que leurs évolutions s’étendant sur 5 cycles solaires entre 1968 et 2018. (les cycles solaires 20,21,22,23 et celui en cours le cycle 24 depuis janvier 2008). L’activité est maintenant très faible avec un nombre de tâches solaires en chute libre, on est en bas de cycle, ce qui nous conduira jusqu’à la transition vers le prochain cycle 25, fin 2019/début 2020, normalement. La probabilité d’une éruption de classe X est donc très faible (<1%) au moins jusqu’en 2020/2021.

graph class x

tab class x

graph class m

tab class m
The annual point on class X eruptions, there have been no other eruptions since September 2017 (in red, bottom right of the graph). For those who do not know the site, I follow Class X & M eruptions, and their evolutions spanning 5 solar cycles between 1968 and 2018. (The solar cycles 20,21,22,23 and the current cycle 24 since January 2008). The activity is now very low with a number of sunspots in free fall, we are at the bottom of the cycle, which will lead us to the transition to the next cycle 25 end 2019 / early 2020, normally. The probability of a class X eruption is therefore very low (<1%) at least until 2020/2021.

CFC 21.2

sunrise-cfc

CFC 21 une série de post sur une liste non exhaustive des gaz à effet de serre bien plus nocifs, avec un pouvoir réchauffant bien supérieur au CO2. Un sujet délicat, les informations précises n’étant pas facilement accessibles. Je vais commencer par les CFC (Chlorofluorocarbure) qui ont remplacé les dérivés de dioxyde de souffre qui avait un effet refroidissant sur notre atmosphère, dans les systèmes réfrigérants (réfrigérateur, climatiseur) au milieu des années 70.  Il y a de toute façon tellement de type de CFC qu’il est impossible de suivre l’évolution de leurs concentrations dans notre atmosphère, comme on pourrait le faire avec le CO2. Hélas leur potentiel de réchauffement global est jusqu’à 14000 fois plus important que le CO2 comme Le chlorotrifluorométhane CClF3, celui-ci fait partie des produits interdit de production par le protocole de Montréal, puisqu’il à une action destructrice sur la couche d’ozone, mais il en existe des centaines d’autres qui n’entrent pas dans cette liste noire. Une brève dans le numéro de Science de Septembre 2017 parle également d’une nouvelle menace sur la couche d’ozone.  » Depuis l’interdiction d’utiliser des Chlorofluorocarbure (CFC), pas tous! adoptée à Montréal en 1987, le trou de la couche d’ozone était en voie de se refermer. Cependant, l’ozone stratosphérique, qui nous protège des rayons ultraviolets, est à nouveau menacé. Le responsable est cette fois le dichlorométhane (CH²Cl²), un solvant répandu qui n’a pas été pris en compte par le protocole de Montréal à cause de sa courte durée de vie dans l’atmosphère. Or sa concentration a presque doublé entre 2004 et 2014. Les émissions sont désormais d’environ un millionde tonnes par an. Lorsque ce composé atteint la stratosphère, il libère des atomes de chlore qui réagissent avec les atomes d’oxygène de l’ozone et le dégrade. Ce processus vient concurrencer la formation naturelle de molécules d’ozone dans la stratosphère. Ainsi, la reconstitution de la couche d’ozone, qui devait revenir à son état d’avant 1980 d’ici environ 2050, pourrait être retardée. Or en 2016, des chercheurs britanniques ont suggéré que 3% de l’ozone détruit peut être imputé au dichlorométhane. Sa contribution, qui était de 1,5% en 2010, a doublé en seulement six ans. Pour évaluer la menace que fait peser le dichlorométhane sur la stratosphère, l’équipe de Ryan Hossaini, de l’université de Lancaster au Royaume-Uni, a effectué des simulations informatiques. Dans le scénario où la concentration du dichlorométhane continue d’augementer à un rytme similaire à ces dernières années, le rétablissement de la couche d’ozone sera retardé d’environ trente ans. Pour préserver la couche d’ozone, le traitement du dichlorométhane est un nouveau défi technique… »  Vous l’aurez compris un gaz industriel en remplace un autre et s’avère parfois plus nocifs que le précédent, que ce soit sur son interaction avec la couche d’ozone mais aussi sur son pouvoir réchauffant, souvent multiple de 1000 à 10000 par rapport au CO2.

Sur la partie Diclorométhane: source Science N°479 Septembre 2017 et

https://www.atmos-chem-phys.net/17/11929/2017/

http://www.spaceweather.com/archive.php?view=1&day=15&month=10&year=2017

Un petit extrait de ce que j’écrivais sur les CFC lors de mon post sur les données climatique de la station météo de Lyon Bron.

On ne doit pas remettre en question une partie de la responsabilité du CO2 dans le réchauffement climatique, néanmoins, les gaz les plus impactant sont souvent cachées au grand public, comme pour notamment le monochlorodifluorométhane ou HCFC-22 a un PRG (potentiel de réchauffement global) 1800 fois plus élevé que le CO2. Un gaz fabriqué par les industriels pour son effet réfrigérant dans les climatisations, frigo. Même si son utilisation est interdite dorénavant dans certains Pays, son remplaçant restera toujours aussi nocifs, Le R410A est un fluide frigorifique remplaçant le R22 (HCFC-22), C’est un gaz à effet de serre puissant (PRG = 2 087,5), seul bénéfice, il ne contribue pas à la destruction de la couche d’ozone stratosphérique.

https://cycle25.com/2017/07/08/donnees-climatique-lyon-bron/

Activité solaire 2017.3

sunrise-1756274_960_720

Une mise à jour de l’évolution des éruptions solaires de classe X et classe M, la dernière datant du mois d’octobre 2015. Cela semblait également nécessaire après les éruptions surprise de quatre classe X en Septembre et de 25 classe M. Cela ne remet pas en cause la baisse significative entre le cycle 23 et ce cycle 24 en cours, qui touche à sa fin. (vers fin 2019/ début d’année 2020)

chartclassx

cycle 20 cycle 21 cycle 22 cycle 23 cycle 24 cycle 25
1964-1976 1976-1986 1986-1996 1996-2007 2008-2020 2020-2031/32

chartclassm

Classe X cycle 20 215 % X-Class
cycle 21 161 -25,12 %
cycle 22 152 -5,59 %
cycle 23 126 -17,11 %
cycle 24 49 -61,11 %
cycle 25 0 %
Solar flares evolution in % cycle25.com
Evolution des éruptions solaires en % cycle25.com
Classe M cycle 20 2862 % M-Class
cycle 21 2347 -17,99 %
cycle 22 2025 -13,72 %
cycle 23 1442 -28,79 %
cycle 24 599 -58,46 %
cycle 25 0 %

Les données entre 1964 et 1968 sont incomplètes, j’ai fait une moyenne des 4 premières années pour faire une estimation du cycle 20 afin de l’ajouter. Ce cycle semble surprenant de toute façon, la question sur la précision des mesures concernant les éruptions solaires de l’époque reste ouverte.

Activité solaire 2017.2

sans-titre-61

La mise à jour concernant les éruptions solaires de classe M. J’en profite pour faire un point sur les classifications des éruptions solaires. Il existe pas mal d’erreurs sur ce sujet sur Internet, comme pour la lecture de l’article de SciencesetAvenir qui parle de 4 catégories (voir lien N°1),  heureusement plusieurs sites dont celui de la NASA parle bien de classes A, B, C, M et X,  il y a bien 5 catégories d’éruptions solaires.(lien N°3). C’est vrai que l’on ne parle jamais des éruptions de classes A, B et C trop petites et trop nombreuses, d’ailleurs même un site comme spaceweather ne parle que de 4 catégories également.(lien 3) Je ne crois pas que les classes A et B soient comptabilisées par un organisme ou par instrument sur un satellite d’observations. Du coup l’article du monde ne comporte pas trop d’erreurs, normalement. Il faut préciser que chaque catégorie, comme cela est bien indiqué, est bien 10 fois plus puissante que la précédente et que chaque degré subdivisé par 9 est 2 fois plus puissante que la précédente échelle.

Lien 1: https://www.sciencesetavenir.fr/espace/video-au-plus-pres-d-une-eruption-solaire_34651

lien 2: http://spaceweather.com/glossary/flareclasses.html

lien 3: https://www.nasa.gov/mission_pages/sunearth/news/X-class-flares.html

lien 4: http://autourduciel.blog.lemonde.fr/classification-des-eruptions-solaires/

La baisse des éruptions solaires de classe M pour ce cycle 24 (Jan2008-fin2019?) est de -60% par rapport au cycle 23. (1996-Jan2008). Cette baisse devrait se situé autour de -50% à -55%. Cliquez sur le Graph et le tableau pour agrandir/ouvrir dans un nouvel onglet.

chart

Quelques repères… par rapport au Cycle d’activité du Soleil (Cycle de Schwabe) une moyenne de 11,2  ans pour un cycle normal, plus court si intense, plus long lorsque l’activité du soleil baisse ou plus faible, peut être entre 11,3 et 12 ans par exemple pour ce cycle 24.

début du cycle Moyenne d’un cycle solaire 11,2 ans fin du cycle
20 1964 1976
21 1976 1986
22 1986 1996 (mai 1996)
(mai 1996) 23 1996 2008 (janv 2008)
(janv 2008) 24 2008 2019 ? (fin 2019?)
(fin 2019 ?) 25 2019 ?

tab

Données climatiques station météo Lyon-Bron

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L’évolution de la température pour la station météo Lyon-Bron depuis le début des relevés quotidiens en 1922, il manque trois années. La création de la station date de 1896. J’ai pris les moyennes communiquées sur le site info-climat pour la période 1925-2004 et sur le site Météo-France pour la période 2005-2016. Constat N°1 Moyenne des températures stables entre 1925-1987 souvent comprise entre 11°C et 12 °C. Constat N°2 une hausse importante et très rapide entre 1988-2003 on mettra de côté certainement l’effet Pinatubo entre 1991 et 1993, la plus grosse éruption volcanique du XXème siècle (VEI= 6). Constat N° 3 Une hausse bien plus modéré ensuite entre 2004 et 2016. Quelques repères par rapport à l’évolution du taux de CO2 dans l’atmosphère sur la même période par tranche de 20 années. 1920-1940 = taux de CO2 entre 280 et 300 ppm / période 1940-1960 = taux de CO2 compris entre 290 et 310 ppm / 1960-1980 taux de CO2 compris entre 310 et 340 ppm / période 1980-2000 taux de CO2 compris entre 340 et 370 ppm / période 2000-2020 taux de CO2 compris entre 370 et 410 ppm. On ne doit pas remettre en question une partie de la responsabilité du CO2 dans le réchauffement climatique, néanmoins, les gaz les plus impactant sont souvent cachées au grand public, comme pour notamment le monochlorodifluorométhane ou HCFC-22 a un PRG (potentiel de réchauffement global) 1800 fois plus élevé que le CO2. Un gaz fabriqué par les industriels pour son effet réfrigérant dans les climatisations, frigo. Même si son utilisation est interdite dorénavant dans certains Pays, son remplaçant restera toujours aussi nocifs, Le R410A est un fluide frigorifique remplaçant le R22 (HCFC-22), C’est un gaz à effet de serre puissant (PRG = 2 087,5), seul bénéfice, il ne contribue pas à la destruction de la couche d’ozone stratosphérique. Cliquez sur le Graph pour l’agrandir en 1166 X 696 . J’ai utilisé Google Sheets et PhotoFiltre7 pour les réaliser.

chart

Ci dessous évolution des températures station météo Lyon-Bron 1980-2016 Données lissées avec courbe de tendance.

chart (3)

L’occupation médiatique du réchauffement climatique est surtout présent, pour ne pas parler des vraies préoccupations et enjeux de la préservation de la planète, les thèmes de la biodiversité, de la démographie et de l’urbanisation ne sont presque jamais abordés. Les accords climat depuis Kyoto en passant par Paris (Cop21) ne sont jamais contraignant, les pays signataires sont hypocrites et se servent de ce sujet pour faire un écran de fumée, afin de ne pas aborder les sujets cruciaux. Plus généralement aucun humain ne souhaite vraiment changé de comportement, de modèle de société et affiche la même inconscience que leurs représentants politiques en consommant toujours plus, détournant les yeux de leurs propres responsabilités.

Activité solaire 2017.1

Sans titre 6

le point annuel sur les éruptions de classe X, c’est simple, il n’y a eu aucune éruption majeure en un an, zéro, entre Juin 2016 et Mai 2017 comme l’année précédente sur la période Juin 2015 → Juin 2016. La précédente transition avait vu une période de 4 ans sans éruptions entre Janvier 2007 et Février 2011 mais en y regardant d’un peu plus près, il y a eu 4 éruptions surprises de Classe X en Décembre 2006 alors même qu’il n’y avait rien eu tout au long de l’année. C’est donc presque une période s’étalant sur 5 années qu’il faudrait prendre en compte. D’ailleurs concernant les éruptions solaires de classe M, on a pu voir qu’un sursaut de notre étoile, même pendant la période basse d’un cycle n’est jamais totalement exclu. En effet il y a eu 7 classe M début Avril contre 12 sur toute l’année 2016. La fin du cycle 24 se situera vers 2020, le pourcentage de baisse des éruptions de classe X est toujours de -64,29 % par rapport au cycle 23. Une chose surprenante dans ce maximum moderne est le nombre de classe X (215 contre une moyenne de 163 pour les autres cycles) pour le cycle 20 alors que c’était le moins actif sur la période 1950-2000, cela concerne les cycles 18 à 23. On pourrait peut être remettre en cause la manière dont on a catégorisé les éruptions au moins jusqu’à la période des début de SOHO, en 1995. Il n’y avait pas de Satellite d’observation avant cela, rien en temps réel pour le moins, d’ailleurs le satellite SOHO voit constament sa durée de vie prolongé, maintenant jusqu’au 31 décembre 2018 (source CNES), probablement plus, faute de remplaçant, sa durée initiale était de 2 ans, une belle réussite.

Graphique en 2560 X 1440

class x

chart (1)

Activité solaire 2016.2

Solar Activity 2016.2

La mise à jour 2016 de mon tableau et du graphique sur le suivi des éruptions solaires de classe M après celle sur les classe X au mois de Juin. Il n’y a eu que 10 éruptions solaires de classe M depuis le début de l’année, comme en 2007, on était alors en pleine transition entre le cycle 23 et celui en cours (24). Le gaphique est en 2560X1440 et le tableau en 1920X1200

graphsolarflaresclassm

tabclassm
The update 2016 of my table and the chart on the follow-up of the solar eruptions of class M after that on the class X in the month of June. There has had that 10 solar eruptions of class M since the beginning of the’year, as in 2007, it was then in full transition between the cycle 23 and the current one (24). The gaphique is in 2560×1440 and the table in 1920×1200

Activité solaire 2016.1

latest_1024_HMIIFSolar Activity 2016.1

J’ai changé de nom de domaine afin d’être plus en adéquation avec le thème que j’ai décidé d’aborder plus régulièrement, et presque exclusivement, l’activité solaire, les éruptions de classe X et de classe M et enfin les prévisions sur le prochain cycle 25 de notre merveilleuse étoile.

Pour commencer le point annuel sur les éruptions de classe X, c’est simple, il n’y a eu aucune éruption majeure en un an, zéro, entre Juin 2015 et Juin 2016. Pour ceux qui ne connaissent pas le site, je suis les éruptions de classe X ainsi que leurs évolutions s’étendant sur 5 cycles solaires entre 1968 et 2016.(les cycles solaires 20,21,22,23 et celui en cours le cycle 24 depuis janvier 2008). Premièrement nous pouvons constater que les éruptions solaires diminuent plus ou moins régulièrement depuis le cycle 20 débuté en octobre 1964, et ce même à l’intérieur des cycles fort comme les 21 et 22, entre juin 1976 et mai 1996.(voir également le graphique sur l’historique des cycles par amplitude,nombre de wolf). Deuxièmement on peut s’apercevoir que depuis 2005, il n’y a eu que 13 éruptions de classe X(en 7 ans), contre une moyenne de 60 classe X lors des précédentes transitions de cycles, ce qui nous fait une baisse de l’ordre de 78%. Troisièmement même si nous n’avons pas encore atteint le maximum solaire du cycle 24, les 31 éruptions de classe X depuis le début du cycle voilà maintenant plus de 6 ans(rappel la moyenne d’un cycle est de 11,2 ans) nous révèlent un écart considérable entre ce cycle et le précédent qui avait alors connu 126 classe X entre mai 1996 et janvier 2008, soit une baisse provisoire mais déjà significative de 64,29%. Quatrièmement, une puissance en baisse, l’éruption la plus forte du cycle 24 est toujours celle du 09/08/2011, une X6.9, les autres ne dépassant pas la puissance de X5.4, témoigne certainement d’une activité extrêmement réduite à la surface de notre étoile. En effet le cycle 23 a généré des classe X d’une puissance autrement plus grande avec une dizaine d’entre-elles dépassant la puissance X10, avec pour exemple le 02 avril 2001 une classe X20, le 15 avril 2001 une X14.4, le 28 octobre 2003 une X17, le 29 octobre 2003 une X10,le 18 avril 2003 une classeX21, le 04 novembre 2003 une classe X28 (depuis reclassé entre X40 et X50), le 07 septembre 2005 une X17,etc… Tout cela n’est pas anodin quand on sait que la puissance d’une éruption est multiplié par 10 à chaque degré, une classe X2 est par exemple dix fois plus puissante qu’une X1 et ainsi de suite.

tabsolarxflares

 

This month, the annual point on the solar activity and more specifically on the eruptions of class X as well as their evolutions extending on 5 solar cycles between 1968 and 2015.(The solar cycles, 20,21,22,23 and the current one The cycle 24 since January 2008).

Scoop 21.1

Les données concernant la hausse des températures globale par mesure satellite de la NOAA, agence créé en 1970, ne sont pas fiables, les modélisations et autres interprétations, qui donnent des valeurs depuis 1880, pour les satellites d’observation de la totalité du globe ne sont pas juste, ceux-ci ont été mise en service  dans les années 80/90, puis améliorés, en intégrant une nouvelle classe d’instrument, par génération. Le réchauffement mesuré et annoncé de cette façon, est un mensonge, oui en omettant d’informer le public sur la réalité du degré d’incertitude qui règne dans cette discipline. En effet, il n’explique pas de quelle façon, la température à été extrapolé, tronqué, je n’oserai quand même pas dire ou même imaginé, truqué???! Avant les relevés satellitaire, donc avant 1970, on ne sait pas si ils ont intégrés des mesures prise sur terre à travers les quelques stations météo qui existaient déjà, et de quelle manière, vu qu’aucun satellite de mesure globale n’existait. Cela fait beaucoup de question sans réponse, on se sent obligé de regarder les graphiques et cartes de la NOAA régulièrement, nous annonçant record de températures sur record, sans vraiment comprendre la provenance des chiffres avancés. Si je ne conteste pas le réchauffement mesuré par les stations météo réparti sur tout le globe entre 40 et 140 ans, il ne fait pas de doute non plus que l’urbanisation autour de la plupart des stations est responsable pour moitié de ce réchauffement. La surpopulation, la migration massive des populations vers les villes (là ou sont situées les stations) pour le travail sont je pense des raisons crédible/fidèle du réchauffement mesurable. il est donc légitime de se demander si ce chiffre peut en pratique être calculé avec un niveau de fiabilité correct. Il n’y a pas de transparence méthodologique, ils utilisent des formules, des équations pour sortir les cartes de températures qui effraient tout le monde. Il n’y a pas de volonté d’informer le public, l’épistémologie est contestable, devant le manque de communication sur les cartes de données sans manipulation des observations par les instruments, qui eux même subissent les premiers traitements qui consistent à appliquer aux images brutes des corrections de type radiométrique et géométrique, avant même l’application des formules, afin de sortir les cartes ci dessous. Vous pouvez constater sur le site universitaire le type d’approche pour calculer la température des océans, la technique du Split Window:

http://e-cours.univ-paris1.fr/modules/uved/envcal/html/oceans/3-restitution-tsm/split-window.html

« La technique du « split window » a été développée lors du lancement des satellites météorologiques américains de la série NOAA, afin de corriger les données acquises par ces satellites des effets atmosphériques indésirables. La surface océanique peut en effet être considérée comme un corps noir, dont l’intensité spectrale maximale est située aux environs de 10μm et dont le rayonnement peut être mesuré depuis l’espace par les radiomètres opérant dans les bandes spectrales de l’infrarouge moyen (3,7μm) et de l’infrarouge thermique (10,5 – 12,5μm). C’est au niveau de ces fenêtres spectrales que l’atmosphère est la plus transparente au rayonnement émis par la surface terrestre.
Cependant, les phénomènes d’absorption et d’émission par l’ensemble des constituants de l’atmosphère, principalement le dioxyde de carbone, l’ozone, les particules solides en suspension dans l’air et surtout de la vapeur d’eau sont loin d’être négligeables et doivent par conséquent être soustraits à la mesure satellitaire.
La température de surface de la mer est obtenue à partir des températures de brillance ou radiométriques des différents canaux. La différence entre ces températures est utilisée comme une indication des effets atmosphériques et est étalonnée de manière à corriger la température de brillance mesurée par un des canaux. Une approximation de l’équation du transfert radiatif (Deschamps and Phulpin, 1980Atmospheric correction of infrared measurements of sea surface temperature using channels 3.7, 11 and 12um) conduit à l’équation linéaire générale du « split window »: Ts = a_0 +\sum a_i T_i

Vous l’aurez compris, l’utilisation de formules, d’équations, d’algorithmes, pour mesurer la température de notre globe par satellite est une constante, il n’y a pas de données brute comme pour les stations météo ou les bouées en mer. Tout ceci est une vaste supercherie, peut être qu’un jour, on disposera d’instrument à bord des satellites vraiment capable de relever les températures avec précision et sans ambiguité, ce n’est malheureusement pas le cas de nos jours.

Ci dessous, un exemple de carte et de graphique de la NOAA (relevé satellite) pour le mois d’Octobre annonçant qu’il était le plus chaud depuis 1880??? et oui 1880 c’est même noté , c’est une blague? personne réagit? c’est vrai qu’il y avait une floppée de satellite à cette époque, dans l’espace, sans compté que même des stations météo fiable avec des relevés heure par heure avec les minimales et les maximales, au 19ème se comptaient sur les doigts d’une main.

201510

 

201510 (1)

 

 

Activité solaire 2015.3

516777main-EDITLes éruptions solaires de classe M, que je publie pour la première fois, après celle moins nombreuses donc moins complexe à suivre que les classe X.  Je suivrai de la même façon, une fois par an, leurs évolutions s’étendant sur 5 cycles solaires entre 1968 et 2015.(les cycles solaires 20,21,22,23 et celui en cours le cycle 24 depuis janvier 2008). La baisse est similaire aux éruptions reines que représentent les classe X. Si l’on considère des données que je ne publierai pas ici, sur l’évolution des éruptions solaires lors des 400 dernières années, une telle baisse, aussi brutal présage de 2 ou 3 cycles encore plus faible à venir, que celui que l’on est en train d’expérimenter, avec les moyens modernes d’observations de notre étoile. Il est maintenant probable que le minimum d’activité solaire que s’est amorcé avec ce cycle 24, ressemblera plus ou moins au minimum de Maunder, plutôt qu’au minimum plus mesuré du minimum de Dalton. De toute façon, on en sera plus d’ici 2022-2024, ce n’est plus si loin, je pense que la transition entre le cycle 24 et 25 nous donnera un élément de réponse décisif pour le futur climatique de notre planète. Le but de ce site a toujours été d’écrire des articles sur des informations difficile, voir impossible à trouver sur Internet. Comme cela représente un travail certain, je copyright le plus possible les données mise en forme de tableau ou de graphique, même si tout un chacun peut librement utilisé le fruit de ce travail en citant simplement sa provenance.

M-class flares

CYCLE SOLAR FLARE M

The solar eruptions of class M, that i published for the first time, after the less numerous therefore less complex to follow that the class X. I would follow in the same way, once a year, their developments extending over 5 solar cycles between 1968 and 2015. (the solar cycles 20,21,22,23 and the current cycle 24 since January 2008). The decline is similar to eruptions queens that represent the class X.