Mes commentaires bref, par rapport à l’article de Science & Vie d’août 2015 sur le scepticisme climatique et ses arguments. J’analyse ici, la démonstration n°1 de l’article qui en comprends 8 sur les relevés de températures à l’échelle du globe. C’est un article totalement à charge essayant de démonter les preuves des climato-sceptiques. Yves Sciama (dont j’ai lu certains ouvrages) prends pour premier exemple les distorsions qui pourrait affecté les Ilots de chaleurs urbains, ils écrit » Cet effet est lié au fait que les stations météo, initialement construites en périphéries des villes, ont très souvent été avalées par l’urbanisation: puisque les surfaces absorbantes des villes rendent les températures plus élevées, il ajoute, cet effet est pris en compte tant bien que mal, dans les calcul des agences », et c’est tout; aucun autre commentaire de sa part, pour balayer d’un revers de la main ce qui est essentiel. Je n’ai jamais vu, dans aucun rapport ou étude la part en degré ou le pourcentage des effets des ilots dans les modèles climatiques, ni aucune prise en compte par le GIEC. De plus quelle serait cette fameuse valeur prise en compte? 0,05 °C comme pour les variations du soleil, ce serait une blague. Comme je l’ai souligné dans des articles plus anciens, la part des ilots sur le réchauffement peut énormément varié de quelques dixième de degré jusqu’à parfois plus de 10°C comme on l’a si souvent constaté, entre le centre ville et sa campagne environnante ou proche banlieue moins urbanisé. Quand on sait que le réchauffement global de la terre chiffré du GIEC au 20 ème siècle est de 0,5°C, on pourrait presque être amené a pensé que la température sans l’effet des ilots à sans doute baissé sur notre globe lors du siècle dernier et non pas augmenté. De toute façon l’exposé de l’auteur dans cet article est bien trop rapide, il n’y a pas de volonté de sa part de s’interroger plus en profondeur. Petit rappel, le dioxyde de carbone grand accusé du réchauffement climatique compose 95,32 % de l’atmosphère martienne, température moyenne sur Mars -63°C, le pourcentage du dioxyde de carbone dans l’atmosphère terrestre 0,04% (400ppm partie par million, terme employé par le GIEC, cela fait plus peur), la température moyenne de la terre, et la je prends la plus chaude jamais enregistré par les partisans du réchauffement 14,8°C (source: NOAA juin 2015). L’effet de serre, c’est la vapeur d’eau, sans elle, il ferait -15C° sur la surface de notre planète et on ne serait pas là pour en parler. « Le CO2 plus il y en a dans l’atmosphère et plus la végétation pousse, ce qui retire du CO2, au contraire plus il y a d’évaporation, plus l’effet de serre se renforce. » C’est un peu la conclusion des 10 pages de l’article, moi je trouve cela juste contradictoire ,avec les affirmations accusant le CO2 du réchauffement climatique.
Article complet a retrouvé sur Science&Vie Août 2015 actuellement en kiosque, ou en version numérique sur Android et Ipad. Et oui, j’ai pris un morceau de l’article sans autorisation pour le commenter, donc je fais un peu de pub.